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Wednesday, July 6, 2011

How much vitamin a is too

Vitamin a is a fat-soluble vitamins required for vision, growth, reproduction, cell growth and differentiation, and a healthy immune system. It is a common ingredient in multivitamins. Recent studies, however, suggest that excessive intake of vitamin a is associated with an increased risk of fracture.

A study published in the New England Journal of Medicine followed 2322 men in Sweden for 30 years. The researchers found that the fracture risk was higher in men with the highest levels of retinol blood, one of the more active forms of vitamin a.

Another study showed similar results. The nurses health study examined postmenopausal women 72,337 over a period of 18 years and found that women who consumed at least 3000 mcg a day as retinol equivalents were more likely to have a hip fracture by 48% from women whose daily was less than 1 250 mcg (4125 IU) per day.

Retinol can interfere with the activity of vitamin D, a vitamin which facilitates the absorption of calcium.

The Centers for Disease Control and Prevention (CDC), however, review of the data of the 5,800 people in the third national health and Nutrition Examination Survey (1988-1994) to determine if there is an association between bone mineral density and blood levels of vitamin A (in the form of retinyl esters). They found an association.

Retinol is the form of the vitamin found in most multivitamins and cod liver oil, liver, foods enriched and whole milk products. Beta-carotene, which is converted into vitamin a in the body (and another common multivitamin ingredient), was not associated with an increased risk of fracture. Beta carotene found in carrots, tomatoes, cantaloupe, spinach and other fruits and vegetables.

The recommended food allowance (RDA) of vitamin a for men over 18 years is 900 mcg (3000 IU) and for women, is 700 mcg (2 310 UI). This calculation should include all sources of retinol, including foods such as liver, dietary supplements such as multivitamins, vitamin supplements and cod liver oil has and enriched foods, such as cereals. The upper limit of retinol is 3000 mcg (10000) IU per day.

Until we know more, it would be wise to check your (especially your multivitamin) supplements and to consult your health care provider before taking vitamin A supplements, to avoid the possible negative effects.

Sources
Ballew C, D. Galuska, Gillespie v. High serum retinyl esters are not related to bone mineral density reduced in the third National Health and Nutrition Examination Survey, 1988-94. J Bone Miner Res 2001; 16: 2306-12.

Feskanich D, Singh V, Willett WC, Colditz GA.Vitamin a intake and hip fractures in postmenopausal women.JAMA 2002 Jan 2. 287 (1): 47-54.

Michaelsson K, Lithell H, Vessby B, Melhus h. serum retinol and the risk of fracture. New England Journal of Medicine. 2003; 348: 387-94.

Johansson S, Lind PM, HAKansson H, Oxlund H, rberg J, fragile bones cause hypervitaminosis A Melhus h. Subclinical rat. OS. 2002; 31: 685-9.


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Monday, December 20, 2010

Blood levels of vitamin D linked to children chubbier, gain weight more quickly

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ScienceDaily (8 novembre 2010) — Les enfants qui sont déficients en vitamine D accumulent graisse autour de la taille et acquise poids plus rapidement que les enfants ayant obtenu suffisamment vitamine D, une nouvelle Université du Michigan étude suggests.Vitamin D, qui est principalement fourni à l'organisme par le soleil, a été un sujet chaud aux États-Unis ces derniers temps. Les normes fédérales de l'apport en vitamine D viennent sous le feu par des professionnels de la santé publique comme étant beaucoup trop faible et continue de désaccord sur le montant approprié de la vitamine D nécessaire pour health.Accumulation optimale de graisse abdominale ou graisse centrale, peuvent conduire à une forme de corps de soi-disant pomme, qui est souvent liée à des risques accrus de diabète de type 2, de maladies cardiaques et d'autres affections chroniques plus tard dans la vie, dit Épidémiologiste Eduardo Villamor, professeure agrégée à l'école de santé publique de l'U-M et auteur principal de le study.Villamor a travaillé avec des collègues à l'Université nationale de Colombie et commence la recherche à Harvard. Les enquêteurs a recruté un groupe d'âges des enfants d'âge scolaire 479 5-12 de Bogota (Colombie) en 2006 et leur suivi pendant environ 30 mois. Ils mesuré la vitamine D dans le sang pris au début de l'étude et ensuite examiné le lien entre les niveaux de la vitamine D et les changements dans les trois indicateurs de la graisse corporelle au fil du temps : indice de masse, tour de taille et subscapular-à-triceps peau pli ratio. »Nous avons découvert que les enfants avec les plus bas niveaux de vitamine D au début avaient tendance à prendre du poids plus rapidement que les enfants avec des niveaux élevés, » dit Villamor, qui a ajouté que les enfants avec les plus bas niveaux de vitamine D ont des augmentations plus drastiques dans le corps central en gras measures.Vitamin D une carence en était également liée au ralentissement de la croissance en hauteur chez les filles, mais pas de garçons, dit-il. »Nos résultats indiquent que faible vitamine D État peut-être mettre des enfants en péril de l'obésité, », a déclaré Diane Gilbert-Diamond, ancien Harvard élève du Villamor, maintenant à la Dartmouth Medical School et auteur de l'étude. « C'est important parce que l'insuffisance de la vitamine D est très répandue dans le monde entier et le taux d'obésité chez les enfants augmentent considérablement dans le monde entier. »Bien que l'apport en vitamine D puisse être liée à l'obésité précoce, c' est juste partie d'une image très complexe, stressed.Of Villamor, tous les enfants testés, 10 p. 100 ont été déficient de vitamine D, et un autre 46 % des enfants étaient insuffisant, qui signifiait qu'ils étaient à risque de devenir déficients. »Fait intéressant, Bogota (Colombie) est il dans une zone subtropicale où on ne peut pas s'attendre à trouver beaucoup de carences en vitamine D puisque l'hypothèse est que le soleil est abondante, mais il pourrait y avoir plusieurs raisons personnes dans les climats subtropicaux ne va pas suffisamment exposition au soleil,"Villamor said.Indeed, des études antérieures ont montré que les populations dans d'autres régions subtropicales tels que Sao Paulo (Brésil) et le Costa Rica peuvent également avoir une carence en vitamine D. »Ces résultats devraient motiver une discussion sur les moyens d'améliorer l'état de la vitamine D des enfants, bien qu'il sera nécessaire de confirmer dans les études d'intervention si des améliorations dans l'état de la vitamine D diminuent le risque de l'obésité et le début du développement de maladies chroniques,"Villamor said.In addition à l'exposition au soleil, autres sources de vitamine D sont des aliments enrichis et les suppléments. Un supplément de vitamine D a démontré à prévenir certaines infections virales chez les enfants d'âge scolaire, afin qu'il pourrait y avoir des avantages sur les autres résultats, qui doivent être mis à l'essai à l'avenir, études, Villamor a souligné se livre, "indicateurs anthropométriques de l'obésité chez les enfants d'âge scolaire et de la déficience en vitamine D: une étude prospective," est disponible ce mois-ci dans le American Journal of Clinical Nutrition.

Note du rédacteur : cet article n'est pas destiné à fournir des conseils médicaux, de diagnostic ou de traitement.

Source de l'histoire :

L'histoire ci-dessus est reproduit (avec des adaptations rédactionnelles par le personnel de ScienceDaily) de matériaux fournis par l'Université du Michigan.

Référence de la revue :

D. Gilbert-Diamond, a. Baylin, M. Mora-Plazas, c. Marin, j. e. Arsenault, M. d. Hughes, w. c. Willett, e. Villamor.Indicateurs anthropométriques de l'obésité chez les enfants d'âge scolaire et de la déficience en vitamine D: une étude prospective.American Journal of Clinical Nutrition, 2010 ;DOI : 10.3945/ajcn.2010.29746

Remarque : Si aucun auteur n'est donné, la source est citée au lieu de cela.


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